- Quels objectifs et donc quel réseau social en priorité ?
- Quel rythme de mise à jour, quels types de contenus?
- Qui est responsable de gérer les mises à jour ? Demandez à tout le monde de s'occuper de quelque chose : personne ne s'en occupera parce que chacun comptera sur les autres.
mercredi 24 février 2010
Société café + clope
lundi 22 février 2010
Référencement et rédaction : précieuse collaboration
Jolie formule, mais les contenus textuels sont avant tout des finalités en soi. Pas qu'un moyen d'obtenir du trafic, ni d'être premier. Je ne le redirai jamais assez : il faut d'abord optimiser son contenu pour les internautes. D'abord ou en même temps... l'idée est la même. Les premiers destinataires de nos textes sont les internautes. Le robot voit que tu écris "canapé pas cher" partout, mais ça ne va pas lui changer la vie.
Soyons bien clair : contenu et référencement sont indissociables bien sûr ! Mais il faut penser tant aux moteurs de recherche qu'à l'internaute, comme je le dit dans un précédent article : la rédaction web, libre ou restrictive ?
Je fais ma pub
- La rédaction de vos contenus web, quel qu'ils soient. Des pages de présentation, des fiches pratiques, des historiques, des accroches... toutes les pages de vos sites web. Les articles de blog aussi !
- Le conseil en rédaction web, ou en stratégie éditoriale. C'est à dire que nous pouvons analyser votre site de A à Z, au niveau des textes ; mais cela passe aussi par les menus, l'organisation générale du site, la lisibilité, etc. Dans le conseil, il y a également l'assistance à la rédaction et l'architecture de contenu : essentiel avant de rédiger, il faut y penser dès le début du projet de création de site !
- La formation. Entreprises, entreprises, oyez, oyez, vous qui avez un site Internet à mettre à jour, vous qui souhaitez écrire des contenus qui sont adaptés au web, qui intéressent les visiteurs... cette formation s'adresse à vous ! Entre autre.
- La conception / rédaction, pour que votre communication s'envole au delà des ondes internet. Flyers, plaquettes, journaux d'entreprises... Oui, oui : Redactio rédige vraiment tous vos contenus.
jeudi 18 février 2010
Le duplicate content, c'est le mal
Personnellement, je n'écris JAMAIS la même chose sur 2 cartes. Les textes veulent évidemment dire la même chose, et je souhaite tout autant de bonheur à l'une ou à l'autre famille, mais ça doit être un principe chez moi. Déjà, c'est sympa pour les gens de recevoir un message un tant soit peu personnalisé. Et ensuite, je l'ai dit : c'est un principe.
jeudi 11 février 2010
L'internaute ne lit pas (mais qu'est-ce qu'il veut ?)
Non, c'est une blague. D'abord tout dépend des sites. Il y a des sites sur lesquels les internautes cherchent clairement du texte, des explications. Typiquement sur les sites médicaux : les intéressés vont lire, lire et lire jusqu'à trouver ce qu'ils cherchent (quels symptômes, quelles causes, quelle maladie, quels remèdes...).
Sur Youtube, évidemment, on cherche des vidéos, mais là... je vous prend presque pour des incultes.
Mise à part ces évidences, réfléchissons. Vous lisez, vous ? J'avoue que même moi, rédactrice web, je lis les accroches, les titres... et parfois pas plus (la honte). C'est que j'ai trop de choses à lire.Après nous sommes tous des internautes, mais nous ne faisons pas forcément partie de la moyenne. Nos habitudes peuvent totalement diverger de "l'internaute moyen". La question est de savoir si l'internaute moyen lit.
Ce que l'on sait de l'internaute moyen
L'internaute est pressé, comme moi. Il ne cherche pas pendant des heures sur une page : s'il ne trouve pas immédiatement ce qu'il veut, il s'en va. Je dis "comme moi", mais je fais quand même partie des curieux du web qui s'attardent un peu sur les pages pour les analyser... Mais pourquoi ne trouve-t-on pas l'information ? Qui a fait ce site ? Etc...
Si l'internaute est pressé, il lit vite. Il parcoure les pages d'une certaine manière, un peu comme on lit un livre en diagonale.
Voilà 2 constats très bêtes qui peuvent suffire à faire penser que l'internaute ne lit pas...
Si vraiment les internautes ne lisaient pas ?
Si vraiment, les internautes ne lisaient pas... Ce serait pour nous, rédacteurs web, un véritable défi, enjeu, espoir, rêve ou ce que vous voulez. Justement, si les internautes ne lisent pas, notre rôle est d'essayer de les intéresser et de les accrocher, plus que jamais. C'est la raison d'être de notre métier.
Exploiter les différents types de contenus
Les internautes cherchent du contenu, ça c'est clair. Mais les contenus peuvent cohabiter, être comparés, se compléter... C'est pourquoi on associe des images ou des vidéos aux textes.
Sébastien Billard nous explique de façon très efficace comment optimiser son contenu. Le slideshow est très bien fait.
mardi 9 février 2010
Sur internet, pas de secret ! 2/2
Non, sur Internet pas de secret, parce qu'Internet est ouvert à tous et que tout le monde peut y dire ce qu'il veut. Chacun peut critiquer, chacun peut se dévoiler, chacun peut naviguer indéfiniment. Internet est un monde illimité où tout le monde a (presque) tous les pouvoirs. C'est ce que nous avons vu dans la première partie de l'article : Sur internet, pas de secret ! 1/2.
Quand l'e-réputation est bénéfique
Laissons les photos compromettantes et les soirées arrosées de côté. (D'ailleurs, vos patrons qui vous font tout un foin pour une photo vieille de 10 ans, se sont eux aussi retrouvés bourrés, moches, ados et je ne sais quoi d'autre.)
Sur le net, on peut aussi se construire une image très valorisante et très positive. Et sans mentir.
Ceux qui travaillent dans le web en particulier, peuvent avoir un blog, être inscrit sur différents réseaux sociaux, bref être actif sur le web. Et cela ne leur porte pas préjudice, bien au contraire.
Etre sur internet n'est pas forcément dangereux. Mes remarques du genre "attention, Internet est puissant" ne doivent pas vous freiner à vous constituer une identité virtuelle. C'est juste qu'il faut penser à gérer sa réputation. Il faut savoir que de plus en plus de choses sont, ou vont être, indexées par les moteurs de recherche :
- commentaires sur les blogs et les forums (attention à utiliser un pseudo si vous vous exprimez sur un sujet trop personnel sur un forum...),
- images et vidéos, si votre nom figure pas loin dans la page web,
- tweets, actualités, etc, etc...
Avoir le pouvoir, ce n'est pas toujours facile
Finalement, avoir le pouvoir représente un enjeu de taille. Plutôt que de profiter de son pouvoir pour dire tout et n'importe quoi, il va falloir contrôler ce pouvoir. Bien plus difficile.
Notre nouveau pouvoir sera de contrôler ce que l'on donne comme image : ce qu'on laisse paraître, ce que l'on dévoile, et ce que l'on garde pour soi ou pour sa vie réelle. Tout un programme. Sans compter que si vous êtes un peu célèbre, vous ne serez pas le seul à parler de vous. Il faudra donc veiller à ce qui se dit, et se préparer à répondre aux attaques.
Internet, mine de rien, est un monde à part. Un univers à lui tout seul qui permet à n'importe qui de s'exprimer. La e-réputation des personnes réelles peut se construire à leur insu. Notre défi ? Utiliser intelligemment notre pouvoir pour gérer notre identité virtuelle. En deux mots, c'est aussi simple que cela. (En pratique, c'est un métier !)
lundi 8 février 2010
Sur internet, pas de secret ! 1/2
L'e-réputation, c'est, pour faire vite, c'est votre réputation virtuelle. Dans la vie réelle, une réputation se fait notamment par le bouche à oreille. Sur le web, c'est différent et ça va plus vite ! Forums, articles de blogs, commentaires... Tout ce qui est dit de vous sur internet constitue votre e-réputation.
Il faut savoir qu'une entreprise essaye de donner une image d'elle-même, mais que sur Internet tout le monde a la parole. Tout le monde peut donner son avis ouvertement, et quand on donne son avis, c'est généralement qu'on n'est pas d'accord... Quelques chiffres très parlants :
- Quand on aime, on le fait savoir 4 fois. Quand on n'aime pas, on le dit 11 fois !
- 8/10 croient ce que disent les autres (donc les forums etc) contre seulement 2/10 qui croient la pub.
Ces chiffres restent des chiffres, et ont peut-être changé entre temps, mais la tendance reste : nous avons plus tendance à critiquer qu'à complimenter, c'est bien connu. Et nous regardons la publicité un peu de travers, préférant faire confiance à nos compatriotes les humains. Et nos compatriotes critiquent tout. Bref, vous suivez.
Les entreprises ont beau donner l'image qu'elles souhaitent donner... cela ne suffit plus. L'image d'une entreprise n'est pas donnée QUE par son site internet. C'est pourquoi de plus en plus d'entreprises ont besoin d'acteurs extérieurs comme les community manager, chargés de l'e-réputation.
La société de l'apparence
Soigner son e-réputation, c'est soigner son image. Dans la vie réelle, tout le monde le fait. Et comme le monde est aujourd'hui hyper connecté, que vos futurs employeurs déchiffrent les profils Facebook, etc, il vaut mieux faire attention.
Au fait : il n'y a pas que les entreprises qui soient concernées. Tout le monde devrait surveiller son e-réputation. La CNIL entend sensibiliser les jeunes aux traces qu'ils laissent sur le web. Peut-être que la campagne "Je publie je réfléchis" aura son petit effet.
Un pouvoir illimité
Nous sommes dans une société où il faut se contrôler. Contrôler son image, sa réputation, ses paroles. Sur internet, il faut certainement redoubler d'effort, mais pourquoi ?
Parce que sur Internet on a tous les pouvoirs. C'est trop facile, et c'est trop risqué. On a le pouvoir de tout dire, de tout montrer, d'aller où on veut... Les mineurs n'ont qu'à cliquer sur un bouton pour certifier qu'ils ont plus de 18 ans. Ne parlons pas des jeunes enfants qui ne font pas encore bien la différence entre ce qui est réel, et ce qui ne l'est pas.
Internet, c'est un monde sans frontières. Il suffit d'en prendre conscience.
Dans un monde virtuel tel que l'Internet, on a aussi l'impression d'être anonyme. On peut jouer comme on veut, avec soi-même, avec les autres. C'est sûr que contrôler son image, c'est aussi le pouvoir de donner une fausse image de soi.
Mais si on veut craquer complètement pas de problème : on s'invente un pseudo. Je connais des personnes qui sont sur Facebook sous un nom complètement farfelu. Personne ne peut les trouver, ce sont eux qui vont chercher leurs amis. Aucun risque qu'on ne les identifie.
Mais il y a anonyme et anonyme. En donnant votre adresse e-mail, même sous un faux nom et une fausse ville de résidence, vous n'êtes pas si anonyme. Sur Internet, on a le pouvoir, mais Internet a aussi beaucoup de pouvoir et de puissance. Il est plus fort et plus futé qu'on ne le croit...
Liens : Internet sans crainte et e-réputation, sur le blog de Weborganique Référencement
vendredi 5 février 2010
La magie du référencement
- Les internautes sont imprévisibles ! Ils peuvent trouver votre site sur un mot-clé auquel vous n'auriez pas pensé.
- Les moteurs de recherches sont mystérieux. Google ne dit pas tout. Et les algorithmes des moteurs de recherches changent souvent.
jeudi 4 février 2010
Votre site doit choisir son camp
mardi 2 février 2010
Etude sociologique avec Google Suggest
2) Par contre "je sais pas quoi faire de ma vie", ou "je sais pas quoi faire comme métier / études / travail" sont révélateurs : jeunesse désespérée, ou au contraire jeunesse investie qui s'intéresse à son avenir ? Monde de l'emploi trop vaste, conseillers d'orientations trop nuls, trop grand choix de métiers proposés, ou pas assez ? On pourrait l'interpréter comme on veut.
3) Des révélations sur les buzz : "à quoi sert twitter", ou "comment créer un groupe sur facebook"... On voit que ces réseaux prennent (ou ont pris) de l'ampleur. Ce que l'on savait déjà, mais bon ! Les critiques négatives sur une marque ou une personnalité (ce qu'on appelle le bad buzz) pourraient aussi ressortir sur Google Suggest. Malheureusement je n'ai pas d'exemple sous la main.
5) Et, inévitablement, les internautes font parfois de belles fautes d'orthographes : "quelle est le meilleur antivirus"...